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Ce qui compte

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Ce qui compte

CLIP

clip de Maëlenn Ripé – Images en boîte

Label : LaCouveuse, Distributeur : Baco Distribution, Production : ECLORE Graphisme : Pauline Leboulanger Équipe EP : violoncelle violon voix : Margaux Monnois, Batterie percussions : Quentin Camus-Dalle, réalisation flûte traversière beatbox : Jî Drû, coaching vocal Sandra Nkaké, mixage : Mathieu Penot, mastering : Thomas Lafon, enregistrement : Cité Carter Attachée presse : Alice Nicolas Clip : LUCIE JOY et Images en boîte – co-réalisation, cadrage, montage : Maëlenn Ripé – étalonnage : Thomas Coquillard, avec l’aide précieuse d’Emma Noël et Roland Lagoutte

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PAROLES

Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu si je te le dis à présent ? Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu ? Petite désolée, je te dois des excuses Tant pis si c’est trop cliché et tant mieux si ça t’amuse Je reviens sur cette plage que t’as foulée enfant Enfin je fais ce voyage pour nous relier dans le temps Désolée pour celui que j’ai pris je dois te dire Que c’est intense la vie qui t’attend, ça te fera rire Mais t’as beaucoup d’amis et plus tellement le temps De penser à t’effacer sous le sable tout doucement Cet endroit c’est le même, rien n’a tant changé pourtant Ou plutôt le vent amène quelques plastiques de temps en temps La maison sur la falaise, elle s’est à moitié écroulée Qui dans une vingtaine d’années saura qu’elle a existé ? Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu si je te le dis à présent ? Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu ? Je suis désolée vraiment de t’avoir laissé croire Aux mensonges des slogans, aux affiches et aux miroirs Je te demande pardon de t’avoir laissé rêver De devenir un canon plutôt qu’altruiste et éveillée Eh petite écoute-moi, j’veux pas t’faire la leçon Mais c’est pas un drame en soi de pas aimer que les garçons Ça doit pas t’faire peur, ça n’a aucune importance L’important c’est quand ton cœur se rend enfin à l’évidence Tu te demandes d’où tu viens Mais tu vois pas ceux qui t’aiment Tu te donnes un mal de chien mais là n’est pas le vrai problème Aucune porte ne s’ouvre, tu trouves pas ta place ? Saches qu’un chemin ça se découvre pas, mais ça se trace ! Alors vas-y trace ta route Prends le vent et prend le large Fais la part belle à tes doutes Mais laisse-les sur le rivage Et quand tu reprendras la mer Souviens-toi simplement C’est un cadeau à se faire d’être là, vivant Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu si je te le dis à présent ? Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu? On a une relation abusive avec notre planète On dit “faut la sauver” c’est nous qu’on veut sauver en fait On se regarde dans la glace à en oublier qu’elle fond On veut tous prendre notre place mais on laisse s’effondrer les ponts (Ah si seulement m’entendras-tu ? Ah si seulement m’entendras-tu ?) Notre époque est déroutante, je te dis pas le contraire Pour faire la route, braver la pente, il faut une sacrée paire d’ovaires Et maintenant la marée monte, elle a comme une odeur de sang Il y a de quoi avoir honte quand elle recrache ses enfants Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu si je te le dis à présent ? Ah si seulement j’avais su ce qui comptait vraiment M’entendras-tu ? M’entendras-tu ? M’entendras-tu ? M’entendras-tu ? M’entendras-tu ?

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